Soutenir le plaidoyer pour l’accès à l’avortement sécurisé au Kenya

ANMA Kenya

Subventions Renforcement
Kenya
Soutenir le plaidoyer pour l’accès à l’avortement sécurisé au Kenya
ANMA Kenya a développé un cadre de mise en œuvre des lignes directrices de soins post-avortement. C’est un pas en avant significatif ; aucune formation relative à l’avortement n’ayant été organisée dans les institutions publiques de santé depuis 2013.

ANMA Kenya bénéficie de subventions AmplifyChange depuis 2017. Nous les finançons pour renforcer les capacités de plaidoyer de l’organisation, qui milite pour l’accès de toutes les femmes à des services d’avortement sécurisés au Kenya. L’organisation a récemment reçu un accord de renouvellement de sa subvention, alors que le contexte du pays est de plus en plus difficile pour les activistes plaidant pour l’accès à l’avortement.

AmplifyChange est le principal bailleur d’ANMA Kenya et soutient le développement et le renforcement des capacités de l’organisation, en sus du soutien de projet. ANMA Kenya a utilisé l’Outil d’Evaluation des Capacités Organisationnelles d’AmplifyChange pour son évaluation interne. L’outil a été d’une aide précieuse pour identifier les faiblesses de l’organisation en matière de communication et gestion des données – et pour les rectifier grâce au financement accordé. Nos équipes financières ont audité ANMA Kenya pour confirmer la pertinence des changements apportés au système comptable.

  • Grâce au soutien d’AmplifyChange, ANMA Kenya a pu :
  • Etablir et renforcer ses réseaux et le travail collectif avec des partenaires clé ;
  • Améliorer la collaboration à haut niveau avec le Ministère de la Santé, pour soutenir la diffusion de Lignes Directrices de Soins Post-Avortement, à travers un livret et guide de bonnes pratiques à l’attention des prestataires de services ;
  • Développer un plan de plaidoyer post-élection.

ANMA Kenya a développé un cadre de mise en œuvre des Lignes Directrices de Soins Post-Avortement, incluant la formation des prestataires de services sur la base du livret et du guide de bonnes pratiques. C’est une étape essentielle pour les soins post-avortement au Kenya, où aucune formation liée à l’avortement n’a été réalisée dans les centres de santé publics depuis 2013, suite au retrait des normes et lignes directrices pour la prévention des avortements à risques.